Sans réserve
Dévoilement des 5 finalistes invités à présenter une proposition d’œuvre d’art public pour le pavillon Pierre Lassonde du Musée national des beaux-arts du Québec.
La Tunisie nourrit visuellement la production de John Lyman. Il est inspiré par les volumes simples et massifs des fortifications, comme celles d’Hammamet, ville d’eaux dont la lumière se transforme au rythme du jour...
Dès son retour du Maroc, en avril 1912, James Wilson Morrice se met au travail. À partir des pochades qu’il rapporte de ce premier séjour, il réalise dans son studio parisien 4 vues, captées à l’extérieur de la médina.
C'est le temps des vacances! Plongeons dans l'oeuvre «À la plage (Saint-Jean-de-Luz)», peinte par John Lyman.
On pense évidemment à Matisse devant le portrait de la jolie «Danseuse», la main sagement posée sur un petit tambour sur cette oeuvre peinte par James Wilson Morrice en 1913.
Ce qui frappe dans les personnages exotiques peints par John Lyman, c'est le caractère pour ainsi dire sculptural de leur construction. «Habiba (Jeune Tunisienne)» illustre parfaitement cette tendance.
Dans les années 20, John Lyman peint le portrait de son ami tunisien Tahar Djedidi, qui était pour lui un véritable philosophe n’ayant pour toute possession que l’infini du temps...
Beaucoup d'émotions aujourd'hui au Musée national des beaux-arts du Québec alors que Mario Béland, conservateur de l'art ancien, quitte l’institution pour une retraite bien méritée, après 30 ans de carrière en nos murs.
Bernard Lamarche, conservateur de l'art actuel au MNBAQ, explique la fascinante démarche de l'artiste Patrick Bernatchez pour son projet «Fashion Plaza Nights», présenté dans l'exposition «Les matins infidèles. L'art du protocole».
Les portraits de femme peint par John Lyman semblent impénétrables. Ici dans l'oeuvre «Jori Smith en costume», le «costume» est si extravagant qu'il nous fait oublier la simplicité de la pose...