L’exposition proposait une relecture de l’art de la colonie sous le régime français – de la fondation de Québec jusqu’à la prise de la capitale de la Nouvelle-France, en 1759, par les Anglais. Toutes les formes d’expression artistique y étaient réunies – peinture, sculpture, estampe, dessin, orfèvrerie, mobilier, textile et arts décoratifs –, afin de représenter la production profane et religieuse. Un formidable panorama de ce rare patrimoine des 17e et 18e siècles ayant survécu aux aléas de l’histoire.
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